#Temps
Quotes about temps
Time, often referred to as "temps" in French, is an ever-present force that governs our lives, shaping our experiences and memories. It is a concept that transcends cultures and languages, embodying the relentless march of moments that define our existence. People are drawn to quotes about time because they encapsulate the profound and often paradoxical nature of this elusive entity. Time can be a healer, a teacher, and sometimes, a thief. It offers the wisdom of hindsight and the promise of new beginnings, making it a subject of endless fascination and reflection.
Quotes about time resonate with us because they capture the essence of our shared human experience. They remind us of the importance of living in the present, cherishing each moment, and understanding the fleeting nature of life. In a world that often feels rushed and chaotic, these quotes offer a moment of pause, encouraging introspection and mindfulness. Whether contemplating the past, embracing the present, or dreaming of the future, time remains a central theme in our lives, inspiring countless reflections and insights. As you explore the myriad perspectives on time, you'll find that each quote offers a unique lens through which to view the passage of life.
Pour échapper à la souffrance, le plus souvent on se réfugie dans l’avenir. Sur la piste du temps, on imagine une ligne au-delà de laquelle la souffrance présente cessera d’exister.
La séparation apparaît tellement fatale qu'il est doux de gagner quelques heures et n'importe quelle histoire, si vous y songez bien, n'est jamais qu'une histoire de gens qui s'entretiennent, se querellent ou se saluent longuement pour prolonger leur réunion sur une terre où tout semble passager et où tout s'enfuit au fond du temps.
Comme rien n'est plus précieux que le temps, il n'y a pas de plus grande générosité qu'à le perdre sans compter.
Le temps perdu est comme le pain oublié sur la table, le pain sec. On peut le donner aux moineaux. On peut aussi le jeter. On peut encore le manger, comme dans l'enfance le pain perdu : trempé dans du lait pour l'adoucir, recouvrir de jaune d’œuf et de sucre, et cuit dans une poêle. Il n'est pas perdu, le pain perdu, puisqu'on le mange. Il n'est pas perdu le temps perdu, puisqu'on y touche à la fin des temps et qu'on y mange à sa mort, à chaque seconde, à chaque bouchée. (p90)
Car le fait que nous ne disposions pas d'une quantité infinie de temps ne signifie nullement que celui-ci serait en soi une denrée rare, nécessitant, dans une optique de "rendement optimal", un procès d'égalisation des masses "homogènes" de dépense d'énergie humaine. Il n'y avait vraiment que la socialisation de la valeur et son diktat du travail abstrait pour donner le jour à une idée aussi aberrante.
La différence entre les copains et les amis, c'est le temps qu'on met à les compter.
Elle se disait qu'il était peut-être là, séparé d'elle par un rien de temps, par un millième de seconde, plus infranchissable qu'un mur de forteresse.
Pour les gens qui vous entourent, vous n'êtes jamais là, toujours en retard ou en avance d'une seconde sur leur temps.